Le parking des Genottes en chantier

Publié le 23 juillet 2015

Les travaux de réhabilitation du parc relais des Genottes, dans le quartier de l’Axe Majeur-Horloge, ont commencé. Le parking restera ouvert tout au long du chantier.

Bonne nouvelle pour les usagers : le parking restera ouvert à 50 % de sa capacité pendant les travaux
Situé à côté de la gare RER Saint-Christophe dans le quartier Axe majeur-Horloge, le parc relais des Genottes a une capacité de 618 places réparties sur cinq niveaux. La plupart de ses utilisateurs y stationnent leur véhicule avant d’emprunter le train. Cet ouvrage imposant construit il y a plus de 20 ans présente toutefois de nombreux signes de fatigue : fissuration et éclatements ponctuels des structures béton, revêtement du dernier niveau en asphalte endommagé… C’est pourquoi la Communauté d’agglomération a entrepris la réhabilitation du bâtiment, en confiant le chantier à Eiffage Construction.
 
18 mois de chantier
Les travaux permettront de corriger les fissurations, de créer des joints de dilatation et de répondre aux critères du label « P+R » établis par le STIF (Syndicat des transports d’Ile-de-France). Les espaces intérieurs seront mis aux normes PMR (personne à mobilité réduite) et entièrement rénovés : peinture, éclairage, électricité, ventilation… Des baies vitrées seront installées dans les cages d’escalier, ainsi qu’une toiture pour protéger le niveau supérieur des chocs thermiques. Dans une logique de développement durable, un bassin de rétention sera créé dans le patio central permettant le stockage des eaux pluviales et leur évacuation.
 
Fermeture partielle
Bonne nouvelle pour les usagers : le parking restera ouvert pendant les travaux. Le chantier a été programmé de façon à ne pas neutraliser plus de 300 places de stationnement (sur les 618 existantes). La société Vinci, qui gère le parc relais des Genottes, a proposé à ses clients des solutions de rabattement dans les autres parkings du quartier. Le chantier, qui devrait s’achever en août 2016, aura coûté 7,5 millions d’euros, dont 1,4 millions d’euros à la charge de la Communauté d’agglomération.